Ksenija Sidorova | Club musical de Québec
Accordéon
Palais Montcalm, salle Raoul-Jobin
La riche tradition de l’accordéon classique est à l’honneur grâce à cette brillante interprète qui multiplie les collaborations de haut vol et assure sa diffusion, tant comme professeure à la Royal Academy de Londres qu’à titre de dédicataire de nombreux opus. De Bach à Albéniz en passant par Glass, elle fait découvrir les vastes possibilités d’un instrument rare au récital.
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En abonnement, prix approximatif par concert : 40 $ à 65 $, moins de 30 ans 17 $*
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Ksenija Sidorova, accordéon |
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L’accordéoniste lettonne Ksenija Sidorova, née à Riga, a commencé à jouer de cet instrument à l’âge de six ans. Elle a d’abord étudié avec Marije Gasele, puis s’est perfectionnée à la Royal Academy of Music (Londres) avec Owen Murray. Elle est devenue Associate de cette institution en 2016, puis Fellow en 2021. En 2012, elle a remporté le premier prix international de la fondation créée en 2008 par le célèbre baryton gallois Bryn Terfel. Lors des célébrations entourant le 50e anniversaire de ce dernier, en 2015, elle s’est produite au Royal Albert Hall. Son intérêt pour la musique contemporaine s’est traduit par des œuvres écrites spécialement pour elle, notamment l’Estonien Tõnu Kõrvits (Danses), le Russe Sergueï Akhunov (Chaconne) et le Letton Arturs Maskats (Concerto pour accordéon). En 2025 elle créera un concerto de la Brittano-Bulgare Dobrinka Tabakova. Ksenija Sidorova se produit fréquemment avec des chefs d’orchestre comme Paavo Järvi, Thomas Hengelbrock et Vasilii Petrenko. Dans le domaine de la musique de chambre, on la retrouve avec le clarinettiste Andreas Ottensamer, le ténor Juan Diego Flórez et la violoniste Nicola Benedetti. Plus récemment, on l’entend dans des récitals avec le baryton Thomas Hampson. Elle est la vedette d’un enregistrement paru en 2016 sous étiquette Deutsche Grammophon consacré à l’opéra Carmen vu sous le prisme de diverses traditions musicales. Cet album lui a valu le prix Echo Klassik de l’instrumentiste de l’année en 2017. Son dernier disque, Crossroads, paru chez Alpha en 2024, comprend entre autres des œuvres de Akhunov et de Montero qui figurent au programme.
| Durée approximative | |
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Philip GLASS (né en 1937), Glassworks (1981) : « Opening » (no 1) |
7 min. |
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Johann Sebastian BACH (1685-1750), Concerto pour clavecin en ré mineur, BWV 974, d’après le Concerto pour hautbois en ré mineur, S. Z799 (v. 1715), d’Alessandro MARCELLO (1673-1747) : « Adagio » |
4 min. |
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Sergueï AKHUNOV (né en 1967), Esquisse no 3 (2016?) |
4 min. |
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Johann Sebastian BACH, Ich ruf zu Dir, Herr Jesu Christ [Je crie vers Toi, Seigneur Jésus-Christ], BWV 639 (prélude de choral no 41 tiré de l’Orgel-Büchlein [1708-1717]) |
4 min. |
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Gabriela MONTERO (née en 1970), Beyond Bach (2006; arrangement pour accordéon de George Morton et Ksenija Sidorova) |
5 min. |
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Fazιl SAY (né en 1970), Trois ballades, op. 12 (1995-2005) |
11 min. |
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Isaac ALBÉNIZ (1860-1909), Suite espagnole no 1 pour piano, op. 47 (1882-1889) : « Asturias (Leyenda) » |
7 min. |
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Entracte
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Astor PIAZZOLLA (1921-1992), Chau París! [Au revoir, Paris!] (1955) |
3 min. |
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Franck ANGELIS (né en 1962), Fantaisie sur le thème de Piazzolla « Chiquilín de Bachín » [Le petit garçon de Bachín] (au plus tard 2017) |
6 min. |
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Sergueï VOITENKO (né en 1973), Révélation pour accordéon (2000) |
5 min. |
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Alexeï ARKHIPOVSKI (né en 1967), Cinderella pour balaïka (au plus tard 2013) |
6 min. |
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Alfred SCHNITTKE (1934-1998), Revis Fairy Tale (1985); arrangement par Youri Chichkine (né en 1963), Friedrich Lips (né en 1948) et Ksenija Sidorova de pièces tirées du ballet Esquisses, fantaisie chorégraphique sur des thèmes de Nikolaï Gogol |
10 min. |
| Durée totale excluant l'entracte : | 1 h 12 |
Programme sujet à changement
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